Au fur et à mesure de leurs rencontres autour de biscuits et de tricots, Aravni se livre par bribes à sa petite fille, lui parle de sa vie d'enfant en Arménie puis l'exode, Alep, Constantinople ... jusqu'à Paris où elles vivent désormais.
Grâce à ces deux femmes et leurs échanges on sourit souvent mais c'est la terrible histoire du génocide arménien et ses horreurs qui nous est livrée sans détour. Le regard tendre de la jeune femme sur sa grand-mère si particulière est beau, aimant et quasi-universel....
Lecture chaudement recommandée !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire