En plein délire verbal, ce dernier détaille "son œuvre" et livre le récit d'une folle virée nocturne dans les quartiers et l’atmosphère fiévreuse de Fort de France.
Les touches de culture populaire martiniquaise sont disséminées dans le récit ainsi que le parler créole, cher à l'auteur, qui émaille les confessions du tueur.
Le récit macabre fait de suspens, de personnages décadents et d'horreurs finit par nous tenir en haleine jusqu'au dénouement de cette terrible nuit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire